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 1bec2ailes :: La Gazette d'1bec2ailes :: Ces écrivains qui aiment les oiseaux

Ces écrivains qui aiment les oiseaux

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paralcesse
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MessageSujet: Ces écrivains qui aiment les oiseaux  Posté leDim Jan 11, 2009 4:58 pm Répondre en citant

EN COURS DE RECONSTRUCTION LE 28 JUIN 2016





- Les petits vendangeurs. Extrait du livre -


Voici le passage d'un livre consacré à nos chers amis les oiseaux, L'ESPRIT DES OISEAUX, par Samuel-Henry BERTHOUD (1804-1891), publié en 1866, et qui a fait l'objet de plusieurs rééditions.


Samuel-Henri Berthoud. Lithographie.

L'auteur, qui habitait la capitale, relate ses observations naturalistes. D'évidence, ce Paris d'alors n'est plus même de nos jours, mais l'on peut constater qu'existent encore dans plusieurs de ses quartiers des petits édens où la faune et la flore offrent encore de l'émerveillement aux humains qui ont la chance d'y vivre.

Écrivain prolifique, S.H Berthoud fut également un journaliste très apprécié de nombreux directeurs de journaux et revues. Son esprit très curieux fit qu'il s'intéressa à de multiples domaines de la connaissance, et il devint un appréciable vulgarisateur des sciences, publiant ses "Fantaisies scientifiques", et ses "Petites chroniques de la science" réunies en volumes annuels.
A vingt-neuf ans, il dirigea la revue du " Musée des familles" , où parurent notamment les premiers écrits de Jules Verne. Il légua à sa ville natale, (Cambrai, 59-Nord) son importante collection ethnographique. .
Tombé dans un quasi oubli il est pourtant encore réédité de nos jours.



- Une des très agréables couvertures de cet ouvrage -



Edition de 1888.

A remarquer, dans la relation ci-dessous, le touchant et très intéressant passage sur les hirondelles.

« Voilà ce que je vois sans cesse, assis devant mon bureau, dans mon cabinet, en plein cœur de Paris.
A l'heure qu'il est, par exemple, des moineaux picorent sous mes fenêtres, des hirondelles nichent dans les angles des murs de ma cour, des martinets hantent les cheminées d'où il ne sortira plus de fumée avant l'hiver; j'entends le chant d'un rossignol captif, auquel répondent un bouvreuil, des mésanges, des fauvettes, des poules, leur coq en tête, fouillent le fumier de l'écurie dont une dizaine de pigeons couvrent le toit, et un gros corbeau noir, familier du concierge, veille gravement sur un petit enfant qui se roule à terre. Il ne faut pas qu'une poule approche de trop près le baby ; car son protecteur hérisse ses plumes et chasse l'importune à gros coups de bec.

Les moineaux se montrent les plus hardis de tous ces hôtes emplumés. Ils vont partout, et s'érigent partout en maîtres. Les huit nids qu'ils occupent, et que je puis compter de ma place, se trouvent placés et construits dans des conditions complètement différentes : l'un, amas grossier d'herbes, de paille et de bûchettes, occupe un angle de la remise, sous le conduit de la gouttière. Par une disposition ingénieuse qui honorerait un architecte, les constructeurs l'ont placée de façon que cette large gargouille, qui parfois vomit de véritables avalanches de pluie, ne puisse en laisser tomber une seule goutte sur leur habitation; six autres nids occupent des pots à fleurs que le palefrenier, après avoir aménagé le trou à la base, a fixés contre le mur, le huitième, bâti en terre sous une corniche de mon propre appartement m'a rendu témoin d'un véritable drame, c'est un nid d'hirondelle.

Au retour du printemps de 1859, deux hirondelles construisirent le nid en question, sous cette corniche, et employèrent près d'une semaine à mener à bonne fin leur labeur. Il fallait les voir aller et chercher au loin les becquetées de terre humide, les pétrir en petites boules, agglomérer ces boules les unes aux autres, et les soutenir entre elles à l'aide d'étais composées de brins de paille. Un maçon eût parfois été embarrassé pour régler les combinaisons nécessaires à rendre solide cette masse demi-sphérique, collée d'un coté contre le mur, et de l'autre s'avançant en large saillie. Parfois les hirondelles hésitaient, parfois elles défaisaient ce qu'elles venaient de faire, parfois, elles s'arrêtaient inquiètes, se suspendaient par les pattes pour s'assurer du plus ou moins de solidité réelle de certaines parties qui leurs paraissaient équivoques. A d'autres instants, on les voyait suspendre tout à coup leur besogne, et partir ensuite un quart d'heure après à tire-d'aile pour revenir chargées de matériaux qui naguère leur faisaient défaut.



Dessin de Yan' Dargent, illustrateur du livre (Saint-Servais 1824 — Paris 1899).

Au plus fort de la besogne, la femelle se déchira la patte à un morceau de bouteille enchâssé dans le mur. Elle voulut néanmoins continuer à travailler avec le mâle au nid presque achevé; mais il lui fallut bientôt y renoncer car le sang coulait abondamment de la blessure; et on voyait s"èpuiser et presque défaillir la pauvrette. Alors le mâle obligea sa compagne à entrer dans le nid, et se prit à percer des cris perçants et d'une nature particulière.

A ce signal, deux autres hirondelles qui occupaient un nid bâti l'année précédente, et qu'elles étaient en train de réparer, s'envolèrent et s'approchèrent, en tournoyant, du mâle qui les appelait à son aide. La femelle de cet officieux voisin entra dans le nid, vit ce dont il s'agissait, détacha de la bâtisse un peu de terre encore humide, la tritura finement par des mouvements de va-et-vient de son bec et appliqua une couche de cette glaise autour de la patte de la blessée dont bientôt cessèrent peu à peu les gémissements , et qui sans doute s'endormait après le pansement qui calmait la douleur de sa blessure. Tandis qu'elle reposait, les deux voisins achevèrent complètement le nid. Après quoi ils s'envolèrent, retournèrent chez eux, et reprirent leur propres réparations interrompues par cette bonne action.
Il fallut bien cinq ou six jours à la blessée pour recouvrer sa santé et ses forces. »

° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° ° °

Ce livre mérite sa place sur un rayon de bibliothèque. Il se trouve facilement, dans une large gamme de prix, mais il est entendu que plusieurs critères entrent en ligne de compte pour ces derniers :
L'état du livre - S'il en comporte une, sa reliure , et son état - L'année d'édition, la première, dite « édition originale », primant, à qualité égale, sur toutes les autres. Dans tous les cas, il est hors de question de trouver ce livre à un prix dérisoire, même abîmé, les illustrations de Yan' dArgent ajoutant à l'intérêt que l'ouvrage présente. Néanmoins, les bonnes surprises surviennent encore, un exemple étant l'ouvrage de 1888, présenté plus haut, et mis en vente à 20euros sur eBay.

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hulotte
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MessageSujet: Ces écrivains qui aiment les oiseaux  Posté leDim Jan 11, 2009 6:10 pm Répondre en citant

Encore un article comme je les aime. Et comment ce Monsieur a-t-il pu observer tout ça sans jumelle ?
Crois -tu Paralcesse qu'il est possible de trouver ce livre ? En province ce n'est pas très facile.
Merci beaucoup

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milvus
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MessageSujet: re  Posté leDim Jan 11, 2009 6:41 pm Répondre en citant

Ca c'est un livre superbe !! Thumright

je pense posseder la premiere edition mais a confirmer pour la date
voici les chiffre paralcesse : M DCCC LXVII

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paralcesse
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MessageSujet: Ces écrivains qui aiment les oiseaux  Posté leDim Jan 11, 2009 8:06 pm Répondre en citant

Milvus, Smile
Ton livre ést daté de 1867, mais ne comportant pas la mention «deuxième édition» il est très probable que ce soit l'édition originale.

Hulotte, Smile
Le nid de ces hirondelles était tout proche du logement de notre ami l'écrivain, il n'avait donc pas besoin de jumelles . Sunny
Pour te procurer ce livre, il est aléatoire de prospecter les librairies de villes, on y passe un temps fou.
Personnellement, pour ces anciens bouquins, je commande en ligne sur le net. Le petit problème est qu'il y a des frais de port en sus, mais en envoi normal cela ne grève pas trop le prix du livre, et je n'ai jamais eu de perte par la poste.

En fait, tout dépend aussi de ton pouvoir d'achat, si tu le désires en bon état ou non, selon ton budget.
Pour ma part, pour des livres assez onéreux mais dont m'intéresse particulièrement le contenu pour effectuer des recherches, je les prends en mauvais état du moment que l'intérieur est parfaitement visible, mais pour les livres plus "affectifs" je les choisis de bonne qualité.
Si tu veux des détails supplémentaires sur les sites d'achat en ligne, ou des renseignements sur les livres en général, pense aux messages en MP.
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milvus
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MessageSujet: reo  Posté leDim Jan 11, 2009 8:42 pm Répondre en citant

oui hulotte paralcesse a entierement raison ! mon exemplaire viens d'un site d'encheres tres connu Dwarf

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LIMATOM
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MessageSujet: Ces écrivains qui aiment les oiseaux  Posté leLun Jan 12, 2009 1:26 pm Répondre en citant

Milvus :pour lire les chiffres romain=
M=1000
D=500
C=100 (3x)
L=50
X=10
V=5
I=1 (2x)
total= 1867
A+ Fararo Study Mr. Green

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milvus
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MessageSujet: m  Posté leLun Jan 12, 2009 3:10 pm Répondre en citant

merci Thumright

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paralcesse
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MessageSujet: Ces écrivains qui aiment les oiseaux  Posté leLun Jan 12, 2009 11:35 pm Répondre en citant



L'ESPRIT DES OISEAUX (SUITE)

Je la vis plusieurs fois se traîner péniblement jusqu'à l'entrée du nid, et passer au dehors sa jolie petite tête pour regarder le ciel et les oiseaux qui, plus heureux qu'elle, pouvaient voler à leur aise et ne point subir les tristesses de l'isolement et la captivité au logis.
Le mâle allait du matin au soir à la chasse. Quand il avait pris une centaine de moucherons, ce qu'il faisait en une demi-heure au plus, il revenait et dégorgeait le produit de sa chasse, de son bec, dans le bec de la femelle, qui se laissait faire languissamment et avec tout l'abandon d'une convalescente.

Un matin que le mâle était parti de bonne heure, je vis la blessée sortir tout à fait du nid, se percher sur un des bords, essayer sa patte, se convaincre de la cicatrisation de la plaie, et ensuite lisser les plumes avec une véritable coquetterie; après quoi elle attendit le retour du mâle. Lorsqu'au loin elle entendit certain petit cri par lequel l'oiseau annonçait son retour, elle s'élança au-devant de lui. Je ne saurais dire le bonheur causé à l'oiseau par cette bonne surprise. Un instant son vol se ralentit tant le bon coeur éprouvait d'émotions, mais presque aussitôt, revenu de ce premier mouvement de trouble, il poussa de petits cris joyeux, vola en tournoyant autour de sa femelle, et finit par s'envoler avec elle au plus haut des airs pour bien s'assurer de la complète guérison de la boiteuse.

A quelque temps de là, de mon bureau, d'où je pouvais observer les moindres mouvements des deux hirondelles, je ne tardais pas à voir que la femelle avait pondu, sur un nid de laine et de plume qui tapissait le fond du nid, six oeufs ronds et d'un blanc écailleux, sur lesquels elle se tenait blottie, et qu'elle couvait avec une tendre sollicitude, tandis que le mâle allait à la chasse pour elle et lui.

Elle en était au troisième jour de sa ponte et de sa couvée, quand un soir les enfants du cocher, trouvant dans la cour une échelle apportée le matin par des ouvriers chargés de repeindre les persiennes de cette maison, l'appuyèrent contre le mur, et après bien des efforts, arrivèrent au pot à fleurs qui servait de logement à une paire de moineaux. Ceux-ci, effrayés, en sentant leur refuge ébranlé par les efforts des petits maraudeurs, qui le secouaient pour le faire tomber, s'enfuirent brusquement, s'envolèrent, et, bientôt revenus de leur premier mouvement de terreur, attaquèrent et frappèrent au visage, de leur bec et de leurs ailes, les gamins; ceux-ci, forcés de se préserver de ces coups en se voilant de leurs mains, lâchèrent le pot, qui tomba sur le pavé et s'y brisa avec les oeufs qu'il contenait.

Les moineaux se réfugièrent sur le bord de la gouttière de l'écurie, et je les vis là, tant que la nuit me permit de les apercevoir, immobiles, la tête enfoncé dans les plumes de leur cou. J'eus beau jeter devant eux du pain émietté; ils le laissèrent ramasser par les autres oiseaux, sans faire un mouvement pour prendre leur part de cette provende.
Le lendemain matin, en m'éveillant, mon premier soin fut de chercher les oiseaux que j'avais laissés la veille, si tristes de leur expropriation forcée et de la perte de leurs oeufs.
Ils ne perchaient plus à la même place que la veille, et ils se tenaient cachés derrière la corniche de mon balcon, dans un coin obscur, au dessus du nid des hirondelles.

Je commençais à travailler, et j'avais déjà écrit quelques lignes, quand tout à coup un bruit étrange m'interrompit et me fit laisser là ma plume. Je me penchai vers le balcon, et je vis les deux moineaux qui attaquaient la femelle hirondelle restée au logis. Cramponnés au nid, ils frappaient à grands coups de bec la pauvrette, qui cherchait sans doute à se défendre, lui arrachaient les plumes de la tête, et finir de la malmener de telle façon qu'elle leur abandonnât la place.
Quand ils la virent réduite à battre la chamade, ils se rangèrent pour lui permettre de fuir, entrèrent dans le nid, en jetèrent dehors les œufs, et se blottirent de façon à barrer l'étroite entrée du logis volé, en y plaçant leurs deux robustes becs.




Demain, la fin de cette petite histoire.
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MessageSujet: Ces écrivains qui aiment les oiseaux  Posté leMer Jan 14, 2009 10:57 pm Répondre en citant

L'ESPRIT DES OISEAUX (dernière partie).


Cependant l'hirondelle jetait des cris désespérés, qui ne tardèrent point à rassembler autour d'elle une trentaine de ses compagnes du voisinage. Celles réunies sur le toit de la maison commencèrent à tenir conseil en attendant le mâle qui survint bientôt... quand il sut de quoi il s'agissait, éperdu de colère, il se jeta sur le nid, pour le reconquérir par la force, mais ce mouvement irréflé ne lui servit qu'à recevoir deux rudes coups de becs sur le crâne, et il revint à tire-d'aile vers le conciliabule en montrant sa tête sanglante, et en proférant des cris de rage et de vengeance.

Les moineaux répondirent à ces anathèmes contre eux par des piaillements qui ne manquaient ni d'insolence ni d'ironie. Les hirondelles, après avoir longuement délibéré, s'envolèrent chacune de leur coté, et les deux victimes des brigands disparurent elles-mêmes.

Pendant ce temps-là, les usurpateurs s'installaient, commodément et avec impunité, dans l'habitation dont ils s'étaient si brutalement emparés. ils jetaient dehors quelques petits débris de coquille d'oeuf qui s'y trouvaient encore, et remplaçaient les plumes souillées du lit par des plumes fraîches qu'ils ramassaient tour à tour dans la cour. Je dis tour à tour; car jamais ils ne sortaient à la fois du nid.

Tandis que l'un s'en allait à la picorée, l'autre faisait bonne garde au logis, s'avançait au moindre bruit, à l'entrée de la boule de terre, la barricadait avec sa grosse tête, et montrait, en guise de palissade, son bec solide, aigu, et qui serre, qui perce si bien au besoin. A la tombée de la nuit, tous les deux redoublèrent de vigilance; ils semblaient évidemment préoccupés, et à chaque instant ils sortaient la tête pour regarder de leurs petits yeux noirs ce qui se passait au dehors.
Tout à coup, j'entendis comme une explosion subite de cris d'oiseaux.





« Cette histoire n'est bien sûr pas terminée, loin de là. Alors si vous désirez lire sa suite procurez vous ce très intéressant ouvrage».
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MessageSujet: re  Posté leMer Jan 14, 2009 11:21 pm Répondre en citant

Bravo paralcesse pour ce tres beau post Thumright

il est vrai que ce livre est vraiment a conseiller Flower

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MessageSujet: Ces écrivains qui aiment les oiseaux  Posté leLun Jan 26, 2009 7:33 pm Répondre en citant

Bonjour tout le monde, ça y est, j'ai reçu ce matin mon exemplaire de l'Esprit des oiseaux. J'ai eu beaucoup de chance de tomber presqu'aussitôt sur un exemplaire (4ème édition) pour moins de 20 euros. Je vais pouvoir le lire et admirer les ravissantes gravures.
N'hésitez pas à nous communiquer ainsi des titres de livres que vous trouvez intéressants, (même s'il ne concerne pas forcémment les oiseaux d'ailleurs).

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milvus
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MessageSujet: re  Posté leLun Jan 26, 2009 9:02 pm Répondre en citant

Cheers super ca hulotte ! tu as bien fait c'est un super bouquin Flower

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paralcesse
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MessageSujet: Ces écrivains qui aiment les oiseaux  Posté leMar Sep 20, 2011 11:56 pm Répondre en citant

Ce sujet a beaucoup souffert de la disparition des illustrations du livre.
Je vais pouvoir les reconstituer assez rapidement, je crois.
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